jeudi 2 décembre 2010

Une "publicité" nommée désir...



Nous avons vu dans les 2 articles précédents, différents moyens pour les publicités, d'agir sur notre conscience de consommateur.
Abordons maintenant leur éventuelle emprise sur notre inconscient.
L'inconscient correspond à l'ensemble des domaines de pensées échappant à la conscience.
Comme l'écrit Thomas Léauté, le but pour les agences de publicité est alors d' éveiller chez le consommateur potentiel « une admiration ou un désir inconscient pour le produit, en l'associant dans son esprit à un autre objet d'admiration ou de désir »
Dans ce contexte, la sexualité devient susceptible de faire vendre !
« Lion, pour rugir de plaisir », « Carte noir, un café nommé désir »... Ces slogans ont pour but de stimuler les pulsions sexuelles inconscientes du consommateur.



Les produits hygiéniques font particulièrement appel à ce type de stratégies : une femme nue, se savonnant lascivement, sur une musique sensuelle...



Les publicitaires rassemblent donc tous les éléments pour déclencher dans l'esprit du consommateur un désir inconscient pour le produit, désir alors basé sur un désir sexuel.

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